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Les bureaux de la rue du 22 novembre

Année de réalisation 2024
Maitrise d’ouvrage Ville de Strasbourg
Contractant général
Entreprise mandataire
Architecte mandataire
Architecte
Mandataire exploitant
Mandataire constructeur
Mandataire
Architecte associé
Maîtrise d’œuvre Lama architectes
Architecte du Patrimoine associée
BET généraliste MH ingénierie
BET structure
BET traitement des eaux thermales
BET VRD
BET gros-œuvre
BET charpente bois
BET structure béton
BET structure béton-bois
BET structure métal
BET électricité
BET thermique et fluides
BET acoustique
BET fluides
BET fluides-électricité
BET traitement d’eau
BET fluides/HQE-BBC
BET HQE
BET géothermie/hydrogéologie
Acousticien
Graphiste
Economiste et OPC
Economiste
OPC
Restau-concepteur
Maintenance
Paysagiste
Référent HQE
Contenu de la mission Base + EXE + MOB + OPC
Mission
Surface plancher 900 m2
Surface
Surface bassins
Surface aménagements extérieurs
Coût travaux 1 000 000 €HT
Coût travaux hors VRD
Performances énergétiques
Lieu Strasbourg
Capacité
Stationnement
Nombre de logements
Nombre de couverts
Lot unique

Construit au début du XX éme siècle par Horn Architekten, l’immeuble Gerberhaüs sis 24 rue du 22 novembre a subit de multiples altérations par ses occupant successifs

Il se compose d’un RDC commerçant et de 5 niveaux, dont 3 étaient plus ou moins libre d’occupation. L’Eurométropole de Strasbourg, pour donner suite à une mise en concurrence, a retenu Lama architecte pour réaliser les travaux nécessaires à l’accueil de son service juridique (R+2) le pôle socio-éducatif et la direction des territoires du quartier centre-ville.

Chaque plateau est composé de larges salles ouvertes sur les rues environnantes, la particularité du site, pourtant dans l’hypercentre de Strasbourg offre des qualités lumineuses naturelles Nord Sud et Est. Les plafonds d’une hauteur supérieure à 3,5 m conservaient leurs moulures masquées pour la plupart au-delà de plafonds industriels démontables., les sols d’origines en parquets, (bordés de hautes plinthes moulurées) étaient masqués par des couches de revêtements successifs. Les radiateurs en fonte en allège étaient encoffrés dans des menuiserie travaillées.

C’est donc une rénovation patrimoniale intérieure qui a été engagée, remettant à jour les décors et matériaux d’origine.

Afin de permettre une distribution électrique sans goulottes apparente, un habillage menuisé découlant de ceux existant parcourt les façades intérieures.

Mais comme conserver c’est transformer, les nouveaux besoins de cloisonnements, respectant les trames et le rythme de fenêtres, ont été agrémenté de châssis vitrés intérieurs, donnant lumière naturelle aux couloirs et vue aux bureaux depuis les circulations.

Le chantier s’est déroulé dans des délais très contraints, en période estivale.